Je N’Aurais Jamais Du … (2)

Je n’aurais jamais du … (2)

J’ai passé une horrible nuit. Mêlée de rêves érotiques liés à l’aventure exhibitionniste de la veille avec mon contact sur internet mais aussi des conséquences de mes actes lorsque j’ai reconnu l’un de mes patrons.
C’était vraiment excitant, je me rappelle du regard de cet homme sur la terrasse du café et du sentiment d’être ainsi exposée à son regard. Dévoiler mes seins sans en avoir l’air et montrer ma petite culotte à cet homme. Le fait de savoir qu’il était excité de me voir ainsi et de regarder mon voisin de table me caresser sous la table.
Et dans cette voiture… hummm… ce beau sexe tendu vers moi que je suçais avec délectation et cet homme qui me derrière et titillait mon petit trou jusqu’à y pénétrer deux doigts ! Vraiment un délice ! Je … ne recommencerais jamais ! Cet homme qui m’a caressé et s’est rincé l’œil en se masturbant, c’était mon patron !
Que faire ? Je ne peux pas aller travailler dans ces conditions. Je vais arriver, il va me virer, c’est sur !
Bon, je vais faire comme si de rien n’était. Je vais me préparer, m’habiller et aller travailler. Sauf que cette fois, je mettrais une jupe un peu plus longue et un pull.

J’arrivais au bureau. Personne en vue. Je commençais à travailler plus ou moins tranquillement. Plus le temps passait et plus je me détendais. Je commençais même à rire avec mes collègues. C’est sûr il n’allait pas en parler et tout allait se passer comme avant.
Vers midi, je m’apprêtais à sortir déjeuner quand mon téléphone sonna. C’était lui ! il voulait que je vienne le voir dans son bureau !
J’y allais, la peur au ventre. Il me dit de m’asseoir. Je m’asseyais face à son bureau. Il se leva, me contourna et alla fermer la porte à clef. Ca commençais mal mais je n’osais pas bouger. Il revint vers moi et s’assis sur le bord du bureau face à moi. Il croisait les bras, je n’osais pas le regarder mais me fit violence pour le faire.


« Alors comme ça on aime se montrer ? » Cette petite phrase assassine ne demandait pas de réponse, je me taisais. « Puisque vous aimez vous montrer, montrez-vous ! »
Bien en tendu, je n’en fis rien. « Il en est hors de question ! Laissez moi sortir ! »
« Mais pas du tout mademoiselle, vous allez m’obéir et faire ce que je vous demande car vous savez que vous n’avez pas le choix »
Je tentais de me lever. Et il me retint en appuyant sur mon épaule. Il sortit son téléphone portable et me montra des photos qu’il avait prises de moi hier.
« Plutôt réussies, vous ne trouvez pas ? Vous ne voudriez pas que cela tombe entre de mauvaises mains ? »
Je le tuais du regard. Je me levais et retirais mon pull doucement et restais en soutien gorge.
« Voilà qui est mieux ! on se comprend. Montrez-moi ce que vous avez sous votre jupe bien sage. »
Je dégrafais ma jupe et la fis glisser le long de mes jambes. Je portais des bas, je ne m’attendais pas à ce chantage odieux.
J’étais maintenant devant lui en string, soutien gorge, bas et chaussures à talons.
« Humm, vous êtes vraiment belle » Il caressait mes seins à travers mon soutien gorge, et pinçait les tétons. Il descendit les bretelles et dégagea mes seins. Je restais ainsi debout, humiliée, les bras bloqués par les bretelles de mon soutien gorge avec cet homme qui me caressait les seins.
Le pire dans tout ça c’est que je commençais à apprécier la caresse. Mais il était hors de question que je laisse voir. Il continuait ses caresses sur les seins, descendant de temps en temps sur mon ventre ou remontant sur ma nuque.
Il approcha sa tête et commença à lécher et mordiller mes tétons, les faisant pointer et déclenchant des frissons sur mon corps.
Je commençais vraiment à apprécier et écartais les jambes imperceptiblement. Il descendit une main vers mon sexe et le caressa à travers le tissu.
« Mais je vois que mademoiselle aime ça… On va bien s’entendre… »
Il accentua sa caresse sur mon sexe et tira dessus d’un coup pour l’enlever.
Cela le fit craquer et il le jeta à terre. J’étais furieuse. Je reculais et allais le ramasser quand je reçu une claque retentissante sur les fesses. Je criais de douleur mais aussi de surprise.
« Je t’interdis de bouger sans que je te le dise. A partir de maintenant tu vas faire exactement ce que je vais te dire. Et pour le moment tu vas retirer ton soutien gorge et te pencher sur le bureau. Je vais t’apprendre à obéir ! »
Il avait l’air hors de lui, il m’effrayait avec le ton de sa voix. Je ne savais pas trop quoi faire. Devais-je crier encore pour signaler ma présence et m’enfuir ? Mais je ne pouvais pas fuir comme ça nue.
Il ne me donna pas beaucoup de loisir de réfléchir. Il tira sur mon soutien gorge et l’arracha. Il appuya sur mon dos et me pencha sur le bureau. Et là, je reçu une série de claques sur les fesses qui me firent venir les larmes aux yeux. Il accentuait les fessées de commentaires tels que « Tu vas apprendre à être docile, c’est moi qui décide ce que tu dois faire » ou « Tu vas aimer ces moments avec moi et tu en redemanderas, d’ailleurs tu aimes déjà ! »
Je me disais que cet homme était fou, qui pouvait aimer se faire fesser ? Et pourtant, au fond de moi, je ressentais un excitation qui montait de plus en plus fort. Et je commençais à crier mais pas de douleur. Je me cambrais de plus en plus et plus ses mains claquaient sur mes fesses, plus des ondes de plaisirs m’atteignaient. Je criais des « Oui » bien sonores.
« Tu vois que tu aimes ça ! Dis le que tu aimes ça ! Dis que tu aimes ! »
« Oui ! j’aime ça, encore ! »
Et d’un coup il s’arrêta. Je n’osais pas bouger. Je sentis son sexe contre moi, il avait défait son pantalon. Je restais là, les mains sur le bureau. De toutes façons, j’étais excitée par la petite séance SM que nous venions d’avoir, alors son sexe était le bienvenu.
« Nous n’avons terminé ce que nous avons commencé hier, tu es partie trop vite ! »
Ah non, je comprenais tout de suite où il voulait en venir.
Il voulait me pénétrer par derrière, là tout de suite sans préparations !
Je tentais de me pousser mais cela ne fit que me faire gagner une fessée de plus. Il tira sur mes cheveux pour me faire cambrer et me pénétra d’un coup. Je criais de douleur, je ne bougeais plus.
« Allez, je sais que tu vas aimer, bouge ton petit cul ! » Je bougeais un peu, plus pour rendre la pénétration plus confortable que pour lui obéir. Ca allait un peu mieux, il tira d’un coup sur mes cheveux de nouveau et commença son va et vient. Il allait avec des mouvements amples et à chaque fois je recevais une claque sur les fesses. Il lâcha mes cheveux pour me caresser, ou plutôt m’empoigner les seins et les faire tourner dans ses mains.
Je commençais à perdre la notion du réel, et je criais tellement j’étais en transe. Il entrait maintenant sans difficulté dans mon petit trou et je lui facilitais la tâche en allant à lui à chaque retour. Je sentais son sexe gonfler en moi. Il passa une main sur mes cheveux et sur ma nuque et me donna deux doigts à sucer. Je les suçais et cela m’excita encore plus.
« Suce mes doigts, tu aimes ça hein ? c’est comme une double pénétration. Tu aimes te faire enculer et avoir un sexe d’homme dans la bouche en même temps ! »
Je ne pouvais que répondre un vague oui, mais ces paroles un peu crues me firent de l’effet et j’eu un orgasme fulgurant me faisant presque perdre l’équilibre. Il me retint avec ses mains sur a taille et se retira lentement.
« Rhabille toi. » Je prenais mes affaires, mon soutien gorge était déchiré et mon string aussi.
« De toutes façons à partir d’aujourd’hui, je t’interdis de mettre des sous vêtements pour venir au bureau. Tu devras toujours être en jupe avec des bas. Dès que je t’appellerai tu viendras dans mon bureau et tu fermeras la porte à clef. Et tu devras obéir.»
Je dit un petit oui et sortis du bureau. Nul ne pouvait ignorer que je n’avais pas de soutien gorge sous mon pull. J’étais mortifiée.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!